[Rp] Le monde Féérique [ouvers à tous]

Une vague d’irritation envahie Bià.
Comment celle qui fut jadis son amie était devenue ainsi ?
Elle tourna les talons et commença a partir

Nina voulut rattrapper Bia, mais elle pensa juste de se présenter avant de le faire.

Quand à moi, wolt-fée, je suis Nina du peuple de l'air et cousine de la Reine Phillippa. Je suis aussi guerrière et défenseuse du Royaume de l'Air.

Elle sourit à la sirène, puis se retourna vers la dénommée Bia.

Attends! Maude à raison. Il faut qu'on aille tous au château de la Reine. C'est là que les ordres seront donnés et que nous saurons se que nous devons faire.

Dès qu'ils sauront qui je suis, j'irais croupir en prison.
Elle se retourna, le visage triste et anxieux

Bià ne savait que faire.
Laisser moi aller consulter les miens, les wolts-elfes sont neutres pour le moment

J'en sais bien plus que se que vous ne vous imaginez. Par contre, je ne sais pas parler au démon cruels tel que vous l'êtes.

Elle haussa des épaules et lui tourna le dos.

Retournez donc dans votre Royaume...

Orök était ni un wolt-elfe, un ange et ni un démon et encore moins un woltfée...Il était une race qui n'existait plus.Il était le dernier des derniers.Orök était un métamorphe.Il avait le pouvoir de se transformer en n'importe quoi.Cette journée là, il était en loup.Orök se rendit au Royaume des Démons.Le Royaume des Démons était celui qu'il aimait le plus.Il adorait combattre contre des démons et puis son père était le rois des démons.Son père avait violé sa mère(une métamorphe) sans savoir qu'elle avait fécondée.Quelque mois plustard Orök était né(Les métamorphe accouchait 3 mois après être tombée enciente).Le roi ne savait pas qu'Orök était son fils et c'était mieux ainsi.Il entendit un démon crier très fort.Il s'approcha de lui pour mieux l'entendre.

Sans savoir que Vénus l'espionnait, il se transforma sous sa vraie forme, celle de métamorphe.Il était blanc comme la neige, il avait de grosses moustaches, des oreilles droites, des yeux dorés comme du miel et un petit nez rouge.Il était magnifique.Orök sentit la présence de Vénus il se retourna vivement vers elle.Il remarque qu'elle l'observait.Il fit sembla de jouer le jeu.Il se repprocha tranquillement d'elle.Il la contourna et lui murmura à l'oreille:




Que fait une si belle démone toute seule ici?N'est ce pas dangereux?Je pourrai de kidnapper et personne ne le saura et encore... Je pourrai être beaucoup plus cruel.

Il passa sa langue sur sa bouche en pensant à ce qu'il pourrait faire d'elle.

Une chance que je t'ai trouvée.

Il passa son bras sous la gorge de Vénus en ricanant.

Orök rit bruyament.

Et toi, tu es une rose?Je suis le dernier des métamorphe...Mais pourtant je n'en suis pas un vrai de vrai.Mais dis-moi ma mignon, tu ne sais pas que n'importe quel démon aurait pu te tuer? .

Il s'approcha d'elle et se transforma en dragon.


Ça ne sert à rien de cacher ton poignard.Je sais tout de toi...Vénus.

Je sais tout de toi!Ho oui!Tu as tuée ta famille au complet et ce matin tu es allée sur l'autre Royaume.
Il souria méchament.

Nina regarda l'endroit où Vénus s'était volatilisé, puis elle acquisa.

Allons y.

Le château de la Reine était à environ un kilomètre. Nina marcha et regarda derrière elle pour vérifier que tout le monde la suivait. La reine devait être débordée avec la guerre qui allait se préparer.

[ On pourrait faire la reine chacuns notre tour? ]

[hrp: mieux vaut que ce soit une seule personne qui la fasse sinon c'est trop compliqué. Enfin c'est comme tu veux.]

*Maude la suivait, ses sens aux aguets. Elle se méfiait du moindre craquement, de la moindre ombre. les démons pouvaient être partout. Mais ils ne l'auraient pas. Non, elle ne leur ferait pas ce plaisir. Une rivière coulait paisiblement prêt de là. Maude s'en approcha et se rafraichit avant de reprendre la route. Il devait être 5h du soir et le soleil commençait à se cacher révélant des ombres inquiétantes de partout...amis pas assez inquiétante pour faire reculer Maude. Elle était déterminée et arriverait à son but. Un lourd silence pesait sur le groupe. Il arrivèrent à une colline qui surplombait la capitale. Le chahut de la journée s'était calmée avec l'approche du soir. Maude contempla la ville ensommeillée un moment puis se remit en route, sans un mot.*